Une situation géographique stratégique avec accès préférentiel aux marchés sous régionaux
Le climat des investissements au Mali est favorable et compétitif, et l’emplacement géographique, stratégique. Avec sept pays limitrophes partageant avec eux près de 7 000 km : l’Algérie au Nord, le Niger et le Burkina Faso à l’Est, la Côte d’Ivoire au Sud, la Guinée Conakry et le Sénégal à l’Ouest, et la Mauritanie au Nord-Ouest.
Cela fait de ce pays un passage stratégique, au-delà de son marché interne, pour les marchés régionaux et sous régionaux, notamment, l’UEMOA (Union Economique et Monétaire de l’Afrique de l’Ouest, près de 124 millions de consommateurs et un PIB de plus de 295 milliards de dollar) et la CEDEAO (Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, plus de 350 millions de consommateurs et un PIB de plus de 628 milliards de dollar) voire continentale UA (Union Africaine, 1.273.226.720 de consommateur, et un PIB de près de 2 849 milliards de dollar).
Une gamme de législation protégeant les investisseurs
Des codes d’investissement et minier en phase avec la dynamique économique internationale. Ici, plusieurs critères sont à retenir quant à l’aspect compétitif de ces codes. Le respect du principe de la non-discrimination (1) : les investisseurs étrangers et nationaux jouissent des même droits ; les sociétés étrangères peuvent rapatrier l’intégralité des capitaux et bénéfices (2) ; le capital social de la compagnie peut être à 100% étranger (3) : le respect de la propriété étrangère ; un dispositif de règlement efficace (4) : le Mali est membre du Centre International pour le Règlement des Différends relatifs aux Investissements (CIRDI) et de la Cour Commune pour la Justice et l’Arbitration (CCJA) de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA) ; les investissements sont garanties (5) : les investissements sont garantis par l’Article 15 du traité établissant l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA).
Une économie qui est à sa phase d’insertion primaire
Le Mali reste une économie où il faut construire des chaines de valeur dans plusieurs filières et branches d’activités. Le tissu industriel offre une panoplie d’opportunité : l’agroalimentaire (1), l’élevage (2), les mine (3), l’énergie (4), la viande (5), l’infrastructure (6) et même la culture (7), sont autant filière et branches d’activité qui regorgent d’énorme perspectives d’investissement.
